Chapitre 2
Je ne manquerai de rien
Cette affirmation prétentieuse est due au bonheur de la brebis qui est pleinement satisfaite de son propriétaire et qui trouve auprès de lui son plein épanouissement. On peut prendre cette expression au premier degré (confort, nourriture et soins), mais il nous faut plutôt le lire au second et comme une louange envers la sollicitude du Bon Berger à notre endroit. À preuve, considérez David, l’auteur du psaume. Il fut un homme qui eut sa large part de souffrances et pourtant il a ce cri d’allégresse. D’ailleurs Jésus nous en a averti par ce trait lumineux de son enseignement : « Vous aurez des tribulations dans ce monde, mais ne craignez rien, j’ai vaincu le monde ». Comme tout nos devanciers nous pourrons affirmer sans crainte, et ce malgré toutes les épreuves qui ne manqueront pas, « Je ne manquerai de rien … -- la direction et les soins éclairés de mon Maître ne me feront pas défaut ».
Je me souviens, par exemple, du voisin de mon premier ranch. Il était complètement indifférent du sort de ces moutons. Jamais je n’ai vu des bêtes aussi malheureuses et aussi mal en point que ces pauvres ovidés qui s’entassaient le long des clôtures et qui fixaient avec envies mes riches pâturages et mes propres brebis bien en chair. Ce voisin négigait complètement ces propres prairies et laissait errer ces bêtes par elle-même, seules. Il se disait que ça ne valait pas la peine puisqu’elles étaient de toute façon toute destinées à l’abattoir.
Il en va de même pour nous. J’ai connu pleine d’hommes, « des grands » aux yeux des hommes, qui étaient malheureux dans le fond d’eux-mêmes et pourtant ils avaient tout (et même plus) pour être heureux. D’un autre côté j’ai aussi connu d’autres gens qui devaient se saigner à blanc pour avoir une vie relativement prospère et qui pourtant, par leur seule appartenance au Christ, étaient imprégnés d’une paix profonde et assurée qui faisait plaisir à voir. À cause de leur foi au Divin Berger, ils avaient en partage une confiance sereine et une joie paisible qui surmonte toutes les vicissitudes de leur existence.
Cette quiétude vient du fait que nous sentons au profond de notre être tout l’amour, le dévouement et la sollicitude de notre Bon Berger. Nous entendons toujours le murmure de son cœur qui dit pour chacun d’entre nous : « Je suis le Bon Berger – le Bon Berger donne sa vie pour ses brebis ». Et aussi : « Je suis venu afin qu’elles aient la vie et qu’elles l’aient en abondance ». Au-delà des douceurs de la vie, c’est cet amour total, gratuit et « absolu » de Notre Berger qui est la source de notre sérénité intérieure.
Mais soyons vigilant à ne pas ce laissé séduire par l’apparente verdeur des prés voisins. J’ai eut une brebis qui n’était jamais satisfaite de son sort. « Mme. Vagabonde ». À elle seule elle ma demandé plus de soins que toutes les autres. Finalement je fut réduit à un choix très pénible (je l’aimais beaucoup car elle était la plus belle) et pour sauvé le troupeau de sa néfaste influence, je l’ai abattue.
Je ne manquerai de rien
Cette affirmation prétentieuse est due au bonheur de la brebis qui est pleinement satisfaite de son propriétaire et qui trouve auprès de lui son plein épanouissement. On peut prendre cette expression au premier degré (confort, nourriture et soins), mais il nous faut plutôt le lire au second et comme une louange envers la sollicitude du Bon Berger à notre endroit. À preuve, considérez David, l’auteur du psaume. Il fut un homme qui eut sa large part de souffrances et pourtant il a ce cri d’allégresse. D’ailleurs Jésus nous en a averti par ce trait lumineux de son enseignement : « Vous aurez des tribulations dans ce monde, mais ne craignez rien, j’ai vaincu le monde ». Comme tout nos devanciers nous pourrons affirmer sans crainte, et ce malgré toutes les épreuves qui ne manqueront pas, « Je ne manquerai de rien … -- la direction et les soins éclairés de mon Maître ne me feront pas défaut ».
Je me souviens, par exemple, du voisin de mon premier ranch. Il était complètement indifférent du sort de ces moutons. Jamais je n’ai vu des bêtes aussi malheureuses et aussi mal en point que ces pauvres ovidés qui s’entassaient le long des clôtures et qui fixaient avec envies mes riches pâturages et mes propres brebis bien en chair. Ce voisin négigait complètement ces propres prairies et laissait errer ces bêtes par elle-même, seules. Il se disait que ça ne valait pas la peine puisqu’elles étaient de toute façon toute destinées à l’abattoir.
Il en va de même pour nous. J’ai connu pleine d’hommes, « des grands » aux yeux des hommes, qui étaient malheureux dans le fond d’eux-mêmes et pourtant ils avaient tout (et même plus) pour être heureux. D’un autre côté j’ai aussi connu d’autres gens qui devaient se saigner à blanc pour avoir une vie relativement prospère et qui pourtant, par leur seule appartenance au Christ, étaient imprégnés d’une paix profonde et assurée qui faisait plaisir à voir. À cause de leur foi au Divin Berger, ils avaient en partage une confiance sereine et une joie paisible qui surmonte toutes les vicissitudes de leur existence.
Cette quiétude vient du fait que nous sentons au profond de notre être tout l’amour, le dévouement et la sollicitude de notre Bon Berger. Nous entendons toujours le murmure de son cœur qui dit pour chacun d’entre nous : « Je suis le Bon Berger – le Bon Berger donne sa vie pour ses brebis ». Et aussi : « Je suis venu afin qu’elles aient la vie et qu’elles l’aient en abondance ». Au-delà des douceurs de la vie, c’est cet amour total, gratuit et « absolu » de Notre Berger qui est la source de notre sérénité intérieure.
Mais soyons vigilant à ne pas ce laissé séduire par l’apparente verdeur des prés voisins. J’ai eut une brebis qui n’était jamais satisfaite de son sort. « Mme. Vagabonde ». À elle seule elle ma demandé plus de soins que toutes les autres. Finalement je fut réduit à un choix très pénible (je l’aimais beaucoup car elle était la plus belle) et pour sauvé le troupeau de sa néfaste influence, je l’ai abattue.
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