samedi 28 novembre 2009

journée aigre-douce !


Aujourd'hui je fut tour à tour en enfer et au Ciel. Par un courriel Évelyne m'avouait qu'elle m'aime encore et n'était pas sûr de vouloir devenir vierge consacré. Bien maladroitement j'ai voulut lui dire que je partagait un peu sa croix. Mais les mots m'ont manqués. Ne pouvant pas davantage faire face aux exigences pour vivre cette amour, je fut forcé de constater que je ne sait pas vraiment aimer comme elle le mériterai. Puis je suis partie pour le 25e anniversaire de mariage de Mario et Céline Larivière après avoir prier sainte Philomène en commençant une neuvaine pour Évelyne.

Dans l'autobus une gentille fillette d'un an et demi environ, me caressa le dos à deux reprise(elle était assise derrière moi avec sa mère). Sa mère lui dit de ne pas le faire. La douceur de ces caresses m'ont un peu réconfortées. Pas pour moi, non j'ai une pléthore de vieux péchés à faire pardonner. Alors souffrir un peu n'est que justice. Mais je me suis senti (à cause de la pureté de ces caresses délicates)soutenu par Jésus dans ma peine et quelque part j'ai su aussi qu'il avait entendu ma prière de pardon pour faire souffrir Évelyne à ce point et aussi longtemps. Puis pendant la cérémonie, je me suis ENCORE UNE FOIS senti élu comme religieux. Pour une fois, je n'était pas jaloux du bonheur conjugal des autres, mais mon envie de leur vie remplit de bonheurs et de malheurs me confortait dans mon choix de vie également clair-obscure.Pourquoi je l'ignore tout à fait. Suis-je vraiment utile à quelque chose comme religieux? Par contre je suis obliger de reconnaître que cette état de vie est sans doute la meilleure pour un gars comme moi si immature malgré ma générosité et ma candeur.

Donc à défaut de savoir le pourquoi, j'offre cette croix noire comme une nuit sans lune de la carrence affective que me faudra sans doute porter pour le reste de maes jours à Jésus et à Marie. Que sa lourdeur et sa noirceur (lire honte) puisse être une offrande agréable à la divine miséricorde. Tout ce que je demande, si ce n'est pas contre la divine Providence, c'est d'alléger celle d'Évelyne. Elle ne mérite pas un tel fardeau. Que Dieu me viennent en aide pour bien vivre ces hauts et ces bas houlleux.

Donc ô sainte Trinité, veille accepter cette offrance aveugle et bien pauvre. Puis-tu en faire quelque chose de beau et digne de ton amour pour tous et chacun.

vendredi 27 novembre 2009

Vie évangélique !


"Marie conservait toutes ses choses en son coeur!" Ce refrain de l'évangile de Luc concernant notre mère bien-aimée à tous me fait sourire ce matin. Éh oui, encore grâce à la capsule "Matin Magique" je me suis éveiller à une réalité que je ne voyais plus à force de le voir dans les acquis. TOUT au niveau de la grâce comme au niveau de la psychologie humaine est déjà en soi et n'attends souvent que notre bonne volonté pour surgir au grand jour. Je vous paraphrase brièvement le jeux de Marie-Pier de ce matin :

+Quel qualité désirs-tu développer en toi (disons la confiance en soi par exemple)?
+Écrit sur un papier cinq occasions où tu as eut confiance en toi.

C'est là qu'est le petit tour de passe-passe mes amis. Si j'ai pu le faire ou plutôt l'être au moins une fois, c'est que j'en suis capable et que je connais le chemin pour y arriver. N'en est-il pas de même pour ce qui est de la grâce? La seule nuance majeur est qu'au départ la grâce est don de Dieu et que c'est Lui aussi qui la rends possible. Mais il nous appartiendra toujours de l'assumer pour notre propre compte et de l'incarner dans notre vie par nos oui.

Voilà donc de quoi ce trouver plus beau, bon et même bien. Comme le dit magnifiquement Isaïe (12, 3) : "Exultant de joie, vous puisserez les eaux aux sources du salut."

jeudi 26 novembre 2009

Vanité petite et grande !


Aujourd'hui je bat ma coulpe bien humblement. Parfois il faut faire preuve de virilité en matière spirituelle pour rester dans la grâce divine et lui être fidèle. Ce matin en lisant "Matin Magique" Marie-Pier Charron m'a éveillé à une sorte de vanité très subtile. La façon dont on vie les événements de la vies est directement lier à la façon dont on les abordent. Elle devait aller à une fête d'un inconnu. Avant de partir, elle a fait taire la petite voix en elle qui la plaignait de sacrifier une belle soirée tranquille pour aller s'ennuyer là-bas. En calmant son coeur, elle s'est encourager en se disant qu'elle allait être agréablement surprise et quelque chose de "PLUS" allait lui être donner à cette soirée. ÇA MARCHER !!!

En pensant à cette sagesse quotidienne, je me suis aperçu que je n'était pas dépourvu de petits illusions sur ma personne. Question de me flatter un peu dans le sens du poil et pour mettre un baume à la mésestime de soi dont je souffre (sûrement un peu par ma faute puisque je me soigne pas pour y porter remède) j'avais mis une devise en latin et juste avant VALE (porte-toi bien) pour faire joli. "Une faute admise est une faute à moitié pardonner" dit le proverbe! Donc l'avoue doit être suivit de contrition certes, mais plus encore de réparation. Je vais donc enlever cette dentelle et mettre un véritable voeu (en français) pour mes correspondant. Bref un peu moins de puérilité pour plus de vraisemblance! Priez donc avec moi pour que je m'ouvre un peu plus à ma véritable personnalité. UPD !

vendredi 20 novembre 2009

L'Évangile de la vie !

Ce matin j'ai lu un texte magnifique d'une "amie virtuelle" Marie-Pier Charron. Je n'est pas le plaisir de la connaître personnellement (d'où les guillemets), mais je lis chaque matin un petit message qu'elle m'envoie ("Matin Magique") par courriel. Dans ce message (que je m'autorise à reprouduire ici) on découvre une sagesse qui va très bien avec celle que nous propose le Christ dans les évangiles.


1. TOUT DONNER !

«Pour changer l'avenir, il n'y a qu'à changer le présent. Et le vrai avenir commence par un engagement triomphal dans le présent.»
~ Stuart Avery Gold

Je vais vous faire une confidence: au début de Matin Magique, et jusqu’au printemps dernier, j’investissais à peu près le quart de l’énergie que j’investis présentement dans ce projet. D’une part, je vibrais intensément à la perspective de toucher la vie d’un grand nombre de gens, mais d’autre part, je faisais les choses un peu à moitié. (Je vous avais dit que je n’allais pas me censurer…) J’écrivais les capsules assez rapidement; souvent, j’envoyais la citation et un simple «Bonne journée!», sans prendre le temps d’ajouter une note personnalisée. Un peu comme si je me retenais… Je gardais le meilleur pour plus tard, pour le jour où j’aurais des dizaines de milliers d’abonnés.

Je n’avais pas conscience de ce que je viens de partager avec vous, bien sûr. Et à partir du moment où je l’ai réalisé, tout a changé… J’ai établi que si j’écrivais des capsules intitulées «Matin Magique», il était important qu’elles soient véritablement magiques! Évidemment, on peut aimer ou ne pas aimer mon style – c’est une question de goût –, mais je me suis engagée à donner toujours le meilleur de ce que je suis. À tout donner, quel que soit le nombre d’abonnés.

Vous ne serez sûrement pas étonné d’apprendre que c’est à ce moment que le projet a «décollé»… Si Matin Magique fait une différence dans votre vie et si vous êtes inspirés à passer le mot, c’est tout simplement parce que mes écrits vous touchent. Et s’ils vous touchent, c’est parce que j’ai décidé de prendre les moyens pour que ce soit le cas. Rien de plus compliqué…

C’est l’intensité de notre enthousiasme et de notre engagement dans notre vie actuelle qui nous permettra de créer notre vie rêvée. Cela s’applique à toutes les situations que l’on souhaite changer. Le meilleur des alchimistes est l’amour – et qu’est-ce que l’excellence, sinon une forme d’amour? Tout ce qu’on décide de faire avec notre cœur se transforme en or. Évidemment, on a tous plusieurs raisons de vivre «en attendant», de ne pas tout donner maintenant… Mais lorsqu’on se retient, c’est toujours nous qui sommes perdants.

Si vous n’êtes pas comblé au travail (par exemple), peut-être vous dites-vous: «Oui, mais je ne veux même pas trop m’investir dans cet emploi et être promu au sein de cette compagnie… Ça ne vaut pas la peine.» Ce n’est pas à ce niveau. Ce n’est pas entre la compagnie et vous, ou entre vos clients et vous; c’est entre la vie et vous, entre vous et vous. Ce que vous semez en étant généreux et entier, vous le récolterez de la plus belle façon des façons que vous pourriez imaginer. (En commençant par la fierté de vous être dépassé!)

J’écrivais la liste de mes priorités, il y a quelques jours, et c’est ce qui trônait au sommet: toujours offrir le meilleur de ce que je suis. C’est là qu’elle est, la magie, et je ne veux rien de moins pour moi et pour les personnes qui me côtoient.


2. PLONGER !

«Faites-vous une image de votre réussite et imprimez-la de façon indélébile dans votre esprit. Que cette image ne pâlisse jamais, qu’elle nourrisse constamment votre esprit, qui cherchera à son tour à la développer.»
~ Dr Norman Vincent Peale

Il y a une grande différence entre espérer et décider… C’est au printemps dernier que j’ai vraiment plongé corps et âme dans la vision que j’ai partagée avec vous – celle de toucher plus de 100 000 personnes chaque matin. Je n’ai pas plongé «le jour où…», ni «éventuellement». Non, maintenant! Le nombre d’abonnés n’a pas miraculeusement grimpé à cet instant précis, mais j’ai décidé que je n’allais pas attendre après la vie, que j’allais la précéder d’un pas.

J’ai donc commencé à imaginer que je m’adressais à 100 000 personnes, chaque fois que j’écrivais la capsule du jour. C’est toujours le cas, d’ailleurs. (Bon, ça serait faux de dire que je le fais chaque fois, mais c’est très fréquent!) Je bondissais directement dans mon rêve… par la pensée. À l’époque, c’était un bond important, puisque ma «vraie réalité» était que je touchais la vie de 4 800 personnes seulement. Mais au fil du temps, ma «vraie réalité» et ma «réalité imaginée» se rapprochent délicieusement.

Je disais plus tôt que le nombre d’abonnés n’a pas grimpé miraculeusement lorsque j’ai plongé dans ma vision… C’est faux, maintenant que j’y pense. Quelques courtes semaines plus tard, j’ai eu une idée toute simple – ridiculement simple – qui a fait toute la différence. Après que je l’ai mise en application (cela m’a pris environ une journée et ne m’a rien coûté), le nombre d’abonnés est passé de 5 000 à 10 000… en trois semaines! Le bond extérieur a suivi mon bond intérieur. (Je répète: le bond extérieur a suivi – et non pas précédé – le bond intérieur.)

Les ressources dont on a besoin pour avancer sur le chemin de nos rêves se trouvent souvent juste à côté de nous… Sous la forme d’une idée géniale, d’un élan, d’une occasion. Or, il faut être en «mode réception» pour les voir, il faut déjà avoir le cœur et la tête dans le rêve en question.

La visualisation, c’est beaucoup plus qu’un exercice à faire les yeux fermés, avant de se coucher. C’est un mode de vie, une pratique de tous les instants. C’est le réflexe de cultiver maintenant l’état dans lequel on veut être et dans lequel on sera. Est-ce toujours facile? Non. C’est pourquoi il est important d’avoir un environnement qui nous soutient et qui nous rappelle constamment de nous «réaligner». Et c’est bien sûr ce type de soutien que je souhaite vous offrir par l’entremise de mes messages journaliers.



3. VIBRER !

«Le désir qui naît de la joie est plus fort que le désir qui naît de la tristesse.»
~ Baruch Spinoza


Ce troisième déclic est étroitement lié au dernier, mais je crois qu’il mérite quelques paragraphes à lui seul…

Le moment où j’ai vécu les deux déclics précédents est aussi celui où je suis tombée sérieusement amoureuse de ma vie. J’ai senti s’installer en moi un état de joie intense, un sens aigu du possible… Pas seulement par rapport à mon projet magique, mais disons que celui-ci fut aussi délicieusement atteint par mon débordement de positivité. Et je sais, au fin fond de mes tripes, que ça a été l’événement déclencheur.

Quelle est la première question que l’on se pose lorsqu’on veut accomplir quelque chose de nouveau? C’est «Qu’ai-je besoin de faire pour y arriver?»; on cherche le bon plan, les bonnes actions, la bonne stratégie... Or, j’aimerais vous proposer une question différente aujourd’hui: «Qu’avez-vous besoin de penser et de ressentir pour y arriver?» Car même le plan d’action le plus génial est saboté si nos «vibrations» sont basses et si notre état intérieur n’est pas en alignement avec ce qu’on souhaite réaliser. C’est un peu comme avancer avec un pied sur la pédale de gaz et un pied sur la pédale de frein en même temps.

Je vous invite à penser à quelques accomplissements dont vous êtes fier. Lorsque vous en aurez identifié quelques-uns, rappelez-vous les conditions gagnantes qui étaient présentes dans ces circonstances. Cela dit, voici une petite nuance: plutôt que de chercher ces conditions dans vos actions, cherchez-les dans votre état d’esprit. Oui, portez attention non pas à ce que vous faisiez, mais à ce qui vous habitait (pensées, émotions, etc.) avant et pendant. Quel était votre dialogue intérieur à ce moment? Quelles étaient vos attentes? Étiez-vous optimiste? Faites des liens... Vous remarquerez probablement que les plus belles surprises que vous avez eues et les événements qui vous ont le plus apporté ont émergé d’un état de joie. Il ne peut pas en être autrement: la joie est le fluide de vie.

L’intangible est bien réel et très puissant. Portez ne serait-ce qu’un petit 10 % de votre énergie à nourrir votre enthousiasme et vous créerez un mouvement sans même le réaliser, sans avoir à forcer. La clé est d’apprendre à cultiver ces belles pensées sur commande, sans raison précise, simplement parce que ça goûte bon et parce que vous le voulez. Vous serez renversé de voir les changements qui se produiront dans votre vie lorsque vous cultiverez cet état d’accueil et d’amour auquel rien ne peut résister.

Anges gardiens virtuels !?!


On évoque souvent, pour parler (ou complimenter) des gens qui font la différence de notre vie par "l'image" d'ange gardien. Depuis surtout (plus ou moins) trois ans saint-Joseph joue ce rôle providnetiel pour moi. Mais depuis que je suis chez les dominicains, j'ai découvert une certains nombres de sites qui me nourri à différent niveau de ma vie, mais qui ont tous en commun de me soutenir dans ma quête spirituelle (ou bien ma vie mystique pour dire le fond de ma pensée). Voici une nouvelle rubrique qui vois le jour ce matin et qui vous donne en partage les principaux "sites angéliques". Croyez-moi ça vaut le détour réellement !!!

jeudi 12 novembre 2009

"Ce qui est écrit et écrit" !!!


Cette photo de moi a été prise immédiatement après "LA" conversation que j'ai eut avec Sylvie Huard et qui marque ma véritable naissance poétique! Si j'ai opter pour cette photo, c'est que mon propos d'aujourd'hui en est un peu la suite de mon introspection. Depuis le début octobre j'écris énormément de poèmes (surtout des Haïkus). Mais depuis le début de ce mois ci (novembre) j'ai abandonner mon ancien projet de Lazare (que m'avait inspirer les recherches que je faisait pour un autre écrivain) au profit d'un autre qui est vraiment "mien". C'est un roman spirituel en trois partie. La première sur le Bon Larron, la deuxième sur le songe de saint Joseph et le dernier sur la famine de Palencia qui poussa saint Dominique à son premier acte connu d'héroïsme.

Ce qui me préoccupe aujourd'hui, c'est que l'écriture en prose et romanesque semble plus difficile à première vue. Je me demande si je ne devrait laisser aller ma plume pour écrire se roman sans stopper ma fibre poétique pour me cantonner dans la prose? La longueur du texte à écrire est difficile. Mais peut-etre s'agit-il d'un manque d'aisance et non une contradiction envers mon génie artistique. Mais je tiens à mener à terme ce projet. C'est un vieux rêve de devenir écrivain (romancier pour être plus précis). Ou bien, ma mission d'écrivain en serait une de poésie et non de "proseur". Donc ce que je me propose de faire est de continuer pour le moment en prose. Pour voir si je peut pondre une histoire à haute teneur spirituelle. Puis ensuite (ou si cela ne marche pas) d'en faire une chanson à geste (genre la chanson de Roland).

Le point de départ idéal et même unique, selon moi, est de retrouver la même béatitude ou sérénité que j'avais sur la photo et de là écouter mon coeur. La source de mon essence poétique s'y trouve. Donc mon vieux, mets-toi en maillot, détends-toi et vogue cap franc Ciel !!!

vendredi 6 novembre 2009

"HUMUS" # 1


Hier deux belles grâces m’ont été données en cadeau à mon groupe de prière. J’ai revu ma cousine Huguette après des années où nous étions chacun de son côté; j’ai pigé une série de trois petits pains de la Parole qui formait une belle suite. Dans le premier, Il (Dieu) me disait qu’Il m’aimait, dans le deuxième qu’Il me guérissait par une onction et dans le troisième qu’une force allait fondre sur moi en vue d’une prochaine libération. J’aime à penser que c’est un cadeau d’amitié de ma nouvelle amie céleste (sainte Philomène).

Revenons, pour un instants, au Bon Larron et son enseignement sur « l’art de souffrir ». D’après ce que j’ai pu comprendre, il suffit de trois choses qui semblent contraire à nos réflexes habituels pour rendre la souffrance plus supportable et enrichissante. Le Bon Larron se reconnais tel qu’il est (humilité), il confesse la divinité de Jésus malgré son état de futur défunt et surtout il « CROIT » en Sa Bonté et il ose le prier sans prétention et du fond de son cœur. J’ajouterai aussi une chose. C’est qu’il s’est mis à aimer Jésus parce qu’il découvre en Lui LE SERVITEUR SOUFFRANT !!! C’est-à-dire que Jésus bien que blanc comme l’agneau qui vient de naître, Il s’immole pour être « DIEU AVEC NOUS ! » A-V-E-C (= « avec cela » ou mieux encore « auprès de ») le mot magique qui vient tout changer. Je le répète encore N-O-U-S N-E S-O-M-M-E-S P-A-S S-E-U-L !!! Arrêtons donc de nous prendre pour un damné, un martyr ou pour le messie. C’est Jésus qui nous sauve et le mal fait partie de la vie simplement. Bref acceptons mieux nos limites, pleurons sincèrement, reconnaissons Dieu pour l'un des notre et PRÉSENT À NOS CÔTÉS, croyons que par ce mal on deviendra meilleur et (finalement) laissons-nous prendre par la main par Jésus pour qu'il mène Lui-même notre marche vers Son Royaume ! 0:)

jeudi 5 novembre 2009

Ça fait mal, mais ce n'est pas un mal !


Ce matin, j'ai acheté, sur un coup de tête un dépliant sur le martyr de sainte Philomène. Normalement en lisant une histoire aussi "fantastique" je refuse de la croire. Parce qu'elle voulait sauvegarder son voeu de virginité au Christ, elle as été jeter 40 jour en prison, flageller, après c'est fait soigne par des anges en une nuit, on la jeta dans le Tibre avec une ancre (des anges la délivre de ces liens et la ramène sur la rive saine et sauve), on a voulut la cribler de flèches chauffées au rouge (celle-ci retournèrent vers les archers en en tuèrent six) et finalement on la décapita le lendemain. Mais cette fois, je me suis dit "et pourquoi pas" en regardant son image. Elle a le même regard pur que mon amie Évelyne. Un coeur pur ne serait mentir me dis-je.

Je me questionne beaucoup aujourd'hui sur le réflexe que nous avons tous devant les malheurs. Pourquoi toujours culpabilisé? Je crois de moins en moins au fameux "nous sommes les artisans de ce qui nous arrive en bien ou en mal". Ni aurait-il pas de l'orgueil dans ça? Bien oui, pourquoi alors Jésus aurait souffert le martyr, puisqu'il n'y a que BONTÉ en Lui? Mes lectures récentes me porte à croire que ce mirage est faux et qu'il nous empêche de bien vivre nos souffrances. Comme Job (lire le début et la fin en prose) il serait de meilleur aloi de vivre nos coups durs avec Jésus et en les lui donnant. NOUS NE SOMMES PAS SEUL !!! C'est aussi le message du récit du Bon Larron !!! UDP ! ^^ 0:)