dimanche 12 juin 2011

Le Bon Esprit!!! :)


Aujourd'hui est grand jour et mon coeur est tout endimanché pour recevoir mon hôte. J'adore se mot sourire qui désigne à la fois celui qui reçoit et celui qui est reçu. Chaque fois que je pense à cette parabole de 2 syllables, mon coeur se dilate devant la générosité du quoditien de de Sa Présence au coeur de nos vies.

Ce maitn j'ai lu un bel extrait d'un livre d'Yves Boulvin. On y méditait sur le comment alimenter ce qui est de meilleur en soi. Il utilisait la belle image de la perle. Si une telle merveille peut surgir de l'huître, c'est qu'au départ il y a un grain de salbe qui irrite et fait souffrir le molusque. En réaction, elle enveloppe ce "mal" du nacre de la Foi. Combien de fois nos échardes peuvent-elles se révéler de véritable perle de sagesse capable d'engendrer en nous nos beauté les plus secrètes?

C'est aussi ce qui ce passa à la Pentecôte. Les apôtre étaient mort de peur et priaient Dieu de remplir la promesse que Jésus leur avaient fait en partant. Puis de leurs peur et de leurs larmes, ces pétales du coeur, est né l'Amour qui les transfigura en homme de foi et de la Foi...

Contemplons un peu l'image ci haut qui évoque pour moi l'esprit de cette fête de la sainteté. Sainteté n'est pas perfection mais achèvement (mais cei est une autre histoire que je traiterai bientôt ici). Jésus est sereinnement assis au pied d'un arbre dans une nuit étoilée. De son coeur rayonne une douce et chaude lumière pesqu'en forme de croix. En gardant la leçon de vie que nous donne l'huître, je pense que vous pouvez vous-même y percevoir la beauté divine qu'elle nous donne en cadeau...

Épousons donc cette même attitude de foi en la bienveillance de Dieu et/ou de la Vie. Je nous souhaite qu'au nmoins aujourd'hui nous nous soyons tour à tour huître et papillon sortant de nos cocons.

Que L'Esprit nous bénisse tous et qu'il honnore pleinement l'hospitaliter que nous Lui faisons de nos coeur qu'Il créa... AMEN !!!

dimanche 5 juin 2011

recommencer, ce n'est pas refaire...!


Cette parole, quelque peut déroutant, mais au combien vraie, de Jules César traduit bien mon état d'esprit en ce jour unique de l'élévation du Christ vers Son Père et le nôtre. Je lisais dans un bon livre de Monbourquette que la mission tient beaucoup de l'obcession qui persiste malgré les contextes non favorable à son éclotion. je me dis donc et si... Effectivemnt et si je n'avait pas parlé comme par accident ou par bravade à mon frère Christian du désir de la prêtrise qui persiste? Et si... ma tristesse pour l'Église de Rimouski riamit à plus que de la simple compassion pour ma terrre nalte qui se déchristianise faute de disciples?
J'ai donc entrepirs vendredi passé une neuvaine à l'Esprit-Saint. Et, évidemment, ma lecture de la fin du livre sur le Soi est dans le ton qu'il faut et aborde, comme de raison, "LE" sujet de la naissance aux choses d'En-Haut m'allimente d'autant plus dans ma marche... AH je vous jure, notre bon frangin est aussi sage que taquin.
OKdou donc Jésus à toi de voir, moi je clopine comme je peux... :)

samedi 4 juin 2011

Éveilles-toi ma gloire, que j'éveille l'aurore...


Depuis ce matin, toute un kyrielle de paroles comme celle du titre me trotte entre tête et coeur. Je suis au seuil de ma grotte de la crise de la mitan de la vie et mes yeux s'adapte lentement à l'éblouissement divine de la mission de vie qui est en train de naître en moi et de moi. Je sens naître ne moi, les élans du marcheur qui découvrir le divin intérieur par l'expliratin du dehors du moi. Je viens de faire une recherche pour faire découvrir à ma meilleur amie la luminosité du pape au sourire, Jean-Paul 1er, qu'elle ne connaissait pas encore. Je ne sais si je pourrais à mon tour transmettre ce flambeau divin à mes frères et soerus, mais bon JE SUIS et Lui sera bien pourvoir au don qu'Il me charge de transmettre, en son Nom, au monde en voix de devenir Royaume.

Depuis quelque temps, je lis beaucoup de livres de Jean Monbrouquette et je m'édifie (dans les 2 sens du mot) par cet assemblage de mots aux allures de prophétie. Je me suis éveillé à la différence de la sainteté et de la perfection qui se résume en fait en celle qui existe entre le rayonnement et la brillance. Maintenant je m'initie à découvrir le véritable centre de mon être qui n'est pas un simple je mais "le" Je! L'unification de mon être s'opère doucement à la vitesse de mon courage et je sais désormais que le côté ombrageux de ma personne n'est pas obscurité, mais un demi jour. Il est écrit dans un psaume : "Pour Toi nos ténèbres en sont pas ténèbrs..."