vendredi 5 août 2011

Le vol du héron bleu!!!


Cette belle photo représente bien mon état d'esprit à se retrour de vacances dans mon bled natal parmi les miens. Malgré le goût doux-amer que j'ai en bouche, je suis bien repu en sagesse et en et en grâce. Je résumerai en trois points mes nouveaux acquis.

J'ai découvert chez mon père de traits de caractères et des schémas de pensées que je croyais entièrement miens. Curieusement cette découvert me libère d'une certaine fatalité que j'entretenais par rapport à ma vision de la vie. Je me rends compte que pour beaucoup cela vien de mes parents et donc que je puis être le maître d'oeuvre de ma façon d'appréhender la vie. Puisque j'ai reçu, je puis modeler ces dons et les transmettre à mon tour selon mes couleurs et mes arômes personnels.

J'ai découvert, avec mon frère Christian que ma mère était plus complexe que je ne le croyais. Nos souvenirs d'elle diffèrent et son fortement teinter par notre personnalité propres ainsi que par notre propre perceptions des événements de notre vie. faut que je creuse la question. Les souvenirs sont donc le fruits et de l'objet du souvenir en soi et du sujet se souvenant... WOW!!! :)

Avec Marie-Fance, ma belle-seur, je me suis découvert vaniteux et plus ordinaire que je voulait bien l'admettre. J'ai découvert que mon rêve de prêtrise cachait un désir de valorisation par le pouvoir spirituel. Je me diais à quoi sert d'accomplagner un mourant si je ne puis pas lui faire don de Dieu par les grâces sacrementelle de l'onction des malades? Par de simples mots vite envoler, je puis peut-être suscité chez mon prochain un désir de conversion (ici encore je ne suis qu'un accompagnateur de son cheminement à lui), si au bout du compte, c'est un autre qui enrichi la vie d'un être par les dons de Dieu? Quel outrecuidance... Je me dégoute. Mais cette souillure découverte dans mon âme peut sans doute être la prise de conscience qu'il me fallais pour me convertir davantage à l'évangile. Quelque part je pense que cette pierre dans mon marécage viens me remettre sur le droit chemin et que de là je puis acquérir un peut plus d'humilité. La question étant désormais de savoir quoi en faire et comment changer mon coeur. enfin... À Dieu va comme on dit. De plus (ouf pour moi) faute avoue est à moitié pardonnée...

dimanche 12 juin 2011

Le Bon Esprit!!! :)


Aujourd'hui est grand jour et mon coeur est tout endimanché pour recevoir mon hôte. J'adore se mot sourire qui désigne à la fois celui qui reçoit et celui qui est reçu. Chaque fois que je pense à cette parabole de 2 syllables, mon coeur se dilate devant la générosité du quoditien de de Sa Présence au coeur de nos vies.

Ce maitn j'ai lu un bel extrait d'un livre d'Yves Boulvin. On y méditait sur le comment alimenter ce qui est de meilleur en soi. Il utilisait la belle image de la perle. Si une telle merveille peut surgir de l'huître, c'est qu'au départ il y a un grain de salbe qui irrite et fait souffrir le molusque. En réaction, elle enveloppe ce "mal" du nacre de la Foi. Combien de fois nos échardes peuvent-elles se révéler de véritable perle de sagesse capable d'engendrer en nous nos beauté les plus secrètes?

C'est aussi ce qui ce passa à la Pentecôte. Les apôtre étaient mort de peur et priaient Dieu de remplir la promesse que Jésus leur avaient fait en partant. Puis de leurs peur et de leurs larmes, ces pétales du coeur, est né l'Amour qui les transfigura en homme de foi et de la Foi...

Contemplons un peu l'image ci haut qui évoque pour moi l'esprit de cette fête de la sainteté. Sainteté n'est pas perfection mais achèvement (mais cei est une autre histoire que je traiterai bientôt ici). Jésus est sereinnement assis au pied d'un arbre dans une nuit étoilée. De son coeur rayonne une douce et chaude lumière pesqu'en forme de croix. En gardant la leçon de vie que nous donne l'huître, je pense que vous pouvez vous-même y percevoir la beauté divine qu'elle nous donne en cadeau...

Épousons donc cette même attitude de foi en la bienveillance de Dieu et/ou de la Vie. Je nous souhaite qu'au nmoins aujourd'hui nous nous soyons tour à tour huître et papillon sortant de nos cocons.

Que L'Esprit nous bénisse tous et qu'il honnore pleinement l'hospitaliter que nous Lui faisons de nos coeur qu'Il créa... AMEN !!!

dimanche 5 juin 2011

recommencer, ce n'est pas refaire...!


Cette parole, quelque peut déroutant, mais au combien vraie, de Jules César traduit bien mon état d'esprit en ce jour unique de l'élévation du Christ vers Son Père et le nôtre. Je lisais dans un bon livre de Monbourquette que la mission tient beaucoup de l'obcession qui persiste malgré les contextes non favorable à son éclotion. je me dis donc et si... Effectivemnt et si je n'avait pas parlé comme par accident ou par bravade à mon frère Christian du désir de la prêtrise qui persiste? Et si... ma tristesse pour l'Église de Rimouski riamit à plus que de la simple compassion pour ma terrre nalte qui se déchristianise faute de disciples?
J'ai donc entrepirs vendredi passé une neuvaine à l'Esprit-Saint. Et, évidemment, ma lecture de la fin du livre sur le Soi est dans le ton qu'il faut et aborde, comme de raison, "LE" sujet de la naissance aux choses d'En-Haut m'allimente d'autant plus dans ma marche... AH je vous jure, notre bon frangin est aussi sage que taquin.
OKdou donc Jésus à toi de voir, moi je clopine comme je peux... :)

samedi 4 juin 2011

Éveilles-toi ma gloire, que j'éveille l'aurore...


Depuis ce matin, toute un kyrielle de paroles comme celle du titre me trotte entre tête et coeur. Je suis au seuil de ma grotte de la crise de la mitan de la vie et mes yeux s'adapte lentement à l'éblouissement divine de la mission de vie qui est en train de naître en moi et de moi. Je sens naître ne moi, les élans du marcheur qui découvrir le divin intérieur par l'expliratin du dehors du moi. Je viens de faire une recherche pour faire découvrir à ma meilleur amie la luminosité du pape au sourire, Jean-Paul 1er, qu'elle ne connaissait pas encore. Je ne sais si je pourrais à mon tour transmettre ce flambeau divin à mes frères et soerus, mais bon JE SUIS et Lui sera bien pourvoir au don qu'Il me charge de transmettre, en son Nom, au monde en voix de devenir Royaume.

Depuis quelque temps, je lis beaucoup de livres de Jean Monbrouquette et je m'édifie (dans les 2 sens du mot) par cet assemblage de mots aux allures de prophétie. Je me suis éveillé à la différence de la sainteté et de la perfection qui se résume en fait en celle qui existe entre le rayonnement et la brillance. Maintenant je m'initie à découvrir le véritable centre de mon être qui n'est pas un simple je mais "le" Je! L'unification de mon être s'opère doucement à la vitesse de mon courage et je sais désormais que le côté ombrageux de ma personne n'est pas obscurité, mais un demi jour. Il est écrit dans un psaume : "Pour Toi nos ténèbres en sont pas ténèbrs..."

dimanche 24 avril 2011

SUR-VIVRE !!!


Vous allez sûrement dire, bon enfin il est redevenu sensé! ;) Que voulez-vous même un non (pas un anti) conformiste comme moi fait preuve de sagesse de temps à autre. Je crois que la Réssurrection de Jésus est sans doute l'une de nos plus grande croyance (ou image symbolique voir archétypale pour les athées)qui nous ouvre à la vrai façpn de vivre sa vie et qu'il nous dévoile un peu notre véritable nature d'enfant de Dieu miséricordiés!!!

Ayaez encore aujourd'hui la sainte audace frondeuse d'entrer en dialogue avec le Vivant et laissé-le oeuvre en vous. Que ces contacts fassent émerger en vous les forces vives de la Vie! Le prophête Osée à bien parler en disant par avance au nom de Jésus : "Ô Mort, je serais ta mort!"

Puisque nous devenons ce que nous contemplons disaient les anciens, sortez donc, à la suite de Jésus, de vos tombeaux sales et ténébreux de vos peurs et soyez pleinement vous-même en ce jour bénis entre tous...

samedi 23 avril 2011

Le Grand Samedi !!! 0:)


Voici un autre bel exemple d'un doux frisson que provoque chez moi une image aux allures mortifère, mais dont la beauté surgit de ces ténèbres lumineuses. Jésus est vêtu d'un blanc linceuil et ses yeux sont caché par les plis de son dernier vêtement. Ce qui m'a d'abord mis sur la piste est une délicieuse coutme médiévale qui est toujours pratiquée lors des funérailles de nos frères dominicains. Quand un religuex se prépare à rejoindre l'Espérance de sa vie, le prieur, avant de fermer le cerceuil, enlève la ceinture et le rosaire (signe que ces combats psirituels sont finis) et relève la capuce du frère sur son front. Ainsi, celui-ci, en l'enlevant en arrivant à la maison du Père, verra de ces yeux émerveillés le Paradis sans avoir eut un dernier regard en arrière.

Vous iamginez bien le réconfort que j'ai éprouver quand le Christ lui-même bénéficia des mêmes délacatesses auquqelles j'aurai droit un jour. Le Pélerin est enfin au bout de sa route et il n'a plus à se protéger des rigeurs du temps et de la marche...

Je pense aussi au symbolisme de la foi que représente la marche aveugle dans la foi. Notre seul garantie est la Lumière de la grâce qui rayonne de nous (= l'auréole dorée et marquer de la Croix) qui illumines nos horizons obscures qui ne seront plus dorénavant ténébreuses ni non plus d'une désespérante noirceures.

On dit chez-nous que le Silence est le père du prêcheur. Laissez-vous donc éblouir par cette suave révélation du Grand Samedi, jour d'attente et de bourgeonnement...

Ô Mort, je serais ta mort...!


Dieu semble dormir! Nous sommes aujourd'hui en dieul mais non de notre Dieu. Non, aujourd'hui ce sont nos peurs, nos morts et nos péchés qui ont trépassé. Notre Sire embrasse la Mort pour qu'elle puisse, elle aussi, être mère de grâces et porter en elle la Vie. Fatalité se métamorphose en destinée qu'il t'appartient ô mon frère, ô ma soeur, de mettre au jour.

Ô enfers, même toi, impossible mystère du Dieu amoureux fou des tous les siens, tu est lieu de sollicitude et de vie éeternelle. Tu a reçu ta part de visitation et désormais nul obscurité ne sera plus jamais ténébreuse.

Courage! Ô oui courage compagnons de marche, la Voie est dorénavant toute tracée et balisée devant nous. Il nous suffit d'épouser notre part d'ombre, de la séduire par notre marche chrismale et de cheminer vers le printemps de Dieu où il nous faudra bourgeonner au milieu de notre Éden recréer...

La Nuit se meurt en nos coeurs... Vive le Jour du Seigneur qui s'engendre en non âmes. Une fois de plus l'Aube du huitième jour surgir de nos finitudes divinisés.