Avant hier soir, j'ai reçu une triste et même pénible nouvelle de ma famille ! Cette "écharde", m'a fait réaliser que chacun doit veiller à son bonheur et à celui des autres également. Après un modeste torrent de larme dans la chapelle du couvent, j'ai méditer un peu sur l'évangile du Bon Larron (Lc. 23, 39-43). Mon Dieu, quel baume que ce petit récit (mais dense) à mis à ma plaire toute neuve et sanglante. "Quand je me regarde, je me désole; mais quand je me compare, je me console." nous dit le proverbe. Je comprend beaucoup plus ce que disait un évêque, dont j'oublie le nom, au J.M.J. de Rome en 2000 : "Le Christ sans la Croix, ça donne la croix sans le Christ."
Au contact du saint Larron, on se sens bien dans notre humanité souffrante et pécheresse, puisqu'on ce sait aimer, pardonner et même sanctifier par et à cause de nos peines et de nos échecs; pourvu qu'on accepte notre croix dans notre vie et qu'on laisse le Christ nous convertir en étant crucifier à nos côtés! "Heureuse faute qui nous a valut un tel Sauveur !" pourrions-nous chanter avec le cantique. Oh oui Dieu de Miséricorde louange et gloire à Toi, le 3x saint !!!
dimanche 11 octobre 2009
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