
Hier deux belles grâces m’ont été données en cadeau à mon groupe de prière. J’ai revu ma cousine Huguette après des années où nous étions chacun de son côté; j’ai pigé une série de trois petits pains de la Parole qui formait une belle suite. Dans le premier, Il (Dieu) me disait qu’Il m’aimait, dans le deuxième qu’Il me guérissait par une onction et dans le troisième qu’une force allait fondre sur moi en vue d’une prochaine libération. J’aime à penser que c’est un cadeau d’amitié de ma nouvelle amie céleste (sainte Philomène).
Revenons, pour un instants, au Bon Larron et son enseignement sur « l’art de souffrir ». D’après ce que j’ai pu comprendre, il suffit de trois choses qui semblent contraire à nos réflexes habituels pour rendre la souffrance plus supportable et enrichissante. Le Bon Larron se reconnais tel qu’il est (humilité), il confesse la divinité de Jésus malgré son état de futur défunt et surtout il « CROIT » en Sa Bonté et il ose le prier sans prétention et du fond de son cœur. J’ajouterai aussi une chose. C’est qu’il s’est mis à aimer Jésus parce qu’il découvre en Lui LE SERVITEUR SOUFFRANT !!! C’est-à-dire que Jésus bien que blanc comme l’agneau qui vient de naître, Il s’immole pour être « DIEU AVEC NOUS ! » A-V-E-C (= « avec cela » ou mieux encore « auprès de ») le mot magique qui vient tout changer. Je le répète encore N-O-U-S N-E S-O-M-M-E-S P-A-S S-E-U-L !!! Arrêtons donc de nous prendre pour un damné, un martyr ou pour le messie. C’est Jésus qui nous sauve et le mal fait partie de la vie simplement. Bref acceptons mieux nos limites, pleurons sincèrement, reconnaissons Dieu pour l'un des notre et PRÉSENT À NOS CÔTÉS, croyons que par ce mal on deviendra meilleur et (finalement) laissons-nous prendre par la main par Jésus pour qu'il mène Lui-même notre marche vers Son Royaume ! 0:)
1 commentaire:
Amen !
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