
Cette photo de moi a été prise immédiatement après "LA" conversation que j'ai eut avec Sylvie Huard et qui marque ma véritable naissance poétique! Si j'ai opter pour cette photo, c'est que mon propos d'aujourd'hui en est un peu la suite de mon introspection. Depuis le début octobre j'écris énormément de poèmes (surtout des Haïkus). Mais depuis le début de ce mois ci (novembre) j'ai abandonner mon ancien projet de Lazare (que m'avait inspirer les recherches que je faisait pour un autre écrivain) au profit d'un autre qui est vraiment "mien". C'est un roman spirituel en trois partie. La première sur le Bon Larron, la deuxième sur le songe de saint Joseph et le dernier sur la famine de Palencia qui poussa saint Dominique à son premier acte connu d'héroïsme.
Ce qui me préoccupe aujourd'hui, c'est que l'écriture en prose et romanesque semble plus difficile à première vue. Je me demande si je ne devrait laisser aller ma plume pour écrire se roman sans stopper ma fibre poétique pour me cantonner dans la prose? La longueur du texte à écrire est difficile. Mais peut-etre s'agit-il d'un manque d'aisance et non une contradiction envers mon génie artistique. Mais je tiens à mener à terme ce projet. C'est un vieux rêve de devenir écrivain (romancier pour être plus précis). Ou bien, ma mission d'écrivain en serait une de poésie et non de "proseur". Donc ce que je me propose de faire est de continuer pour le moment en prose. Pour voir si je peut pondre une histoire à haute teneur spirituelle. Puis ensuite (ou si cela ne marche pas) d'en faire une chanson à geste (genre la chanson de Roland).
Le point de départ idéal et même unique, selon moi, est de retrouver la même béatitude ou sérénité que j'avais sur la photo et de là écouter mon coeur. La source de mon essence poétique s'y trouve. Donc mon vieux, mets-toi en maillot, détends-toi et vogue cap franc Ciel !!!
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