
Cette image fut révélatrice de douloureuses révélations. Douloureuses, parce qu'elle fut à l'origine de grandes souffrances que j'ai infliger à la dernière personne à qui j'aurais voulut causer du tort. Mais ma honte et ma haine de mes limites bien trop étroites et réelles m'ont du même coup fait reprendre contact avec l'un de mes rêve les plus anciens et profonds. Celui de devenir un second frère Toc (ermite itinérant et solitaire aux service d'autrui). Évidemment je suis prodigieusement atypique comme toujours. J'aurais voulut (le veux-je encore???) être un ermite qui va aux gens au lieu de les attendres en un lieu plus ou moins secret ou isolé. Donc à suivre... Tout comme mon rêve de prêtrise, ce vieux rêve me fait peur. Mais avec Gilles j'apprends peu à peu le courage et l'optimisme vis-à-vis mes capacités de réaliser et d'incarner mes bonheurs intuitifs. À moi de construire mes lendemanins mais à "Lui" de voir ce de quoi ils seront fait.
4 paroles me font réfléchir beaucoup entre les ondés de larmes amers :
+ "Ça fait mal, mais ce n'est pas un mal." Cette parole qui vient du roman Oscar et la Dame ros de Éric Emmanuel Schimdt m'inspire cette question angoissante. Pourquoi Père suis-je incapable (comme c'est déjà plaint Paul): "... de ne pouvoir faire le bien que je veux faire et de ne pas faire le mal que je ne veux pas faire?" Est-ce toujours nécesssaire de progresser par le chemins des larmes et de faire chuter les autres? Pourquoi... je reste sans voix et espère pour le mieux.
+ "Tout vérité n'est peut-être pas bonne à dire, mais toute vérité est bonne à vivre." Cette boudade est plus que sage. Il faut que je murisse, surtout sur le plan affectif, pour bien discerner la vérité de mon être et ne plus passer à côté de ma vie et ainsi faire souffrir autrui.Souffrir de mes erreurs m'ai parfaitement normal, mais pas les autres. Non ça je peux pas l'accepter.
+ "Tout homme heureux est un homme qui porte Dieu." Cette parole trouvé dans le livre l'Alchimiste (tout comme la dernière qui suivra), me rassure sur la suite des choses si je finit par réapprendre à écouter mon coeur comme du monde. À quand, ô Dieu, ce jour bénis???
+ "Une quête commence toujours par la Chance du Débutant. Et s’achève toujours par l’Épreuve du Conquérant." Évidemment faut toujours en passé par là. MERDE... mais bon calmons-nous. Au dire de l'Alchimiste de l'hisoire c'est la Vie (ou Dieu) qui s'assure de la total INTÉGRATION par et surotu en soi des leçons de vie que nous avons apprisent pendant notre quête mystique qu'on appel un peu trop simplement "sa" vie (au lieu de "la"). Puis-tu mon Jésus avoir pitié de ton frère encore trop juvénil malgré ses cinquante ans presque sonnées.
Bon bien, "vamos" comme le disent les latinos. Je reviendrais sans doute bientôt sur cette belle et sainte image.
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